L’investissement Girardin industriel est une opération assez délicate, car génère des risques, en contrepartie de son rendement élevé. Rappelons que l’objectif principal de la souscription à ce dispositif est avant tout d’ordre fiscal, c’est-à-dire une importante réduction de votre impôt sur le revenu. Pour que l’investissement soit rentable, le montant annuel de votre impôt sera dé préférence supérieur à 3 000 euros, voire à 5 000 euros par an. Voici les précautions à prendre avant d’investir sous Girardin industriel.
La fiabilité, le sérieux, l’expérience et les compétences du monteur
Les opérations sont prises en main par un monteur de dossier juridique. C’est donc sur ce dernier dont dépend le succès du montage, de même que la pérennité desdites opérations. Parmi ses missions : l’achat du matériel industriel qui fait l’objet de l’investissement et qui est mis en location auprès d’une entreprise en outremer. Le choix de cette dernière repose également sur le monteur Girardin : nature de l’activité, solidité financière, qualité du management et du business plan qui est sa « feuille de route » entre autres.
Un bon monteur Girardin se reconnaît également à sa fiabilité et à son sérieux. Toujours se renseigner sur ses expériences et ses compétences en matière de gestion des différentes opérations. C’est sur ce monteur Girardin que repose par ailleurs les démarches de défiscalisation, que ce soit de plein droit ou sous agrément. De plus, il proposera différentes garanties vous permettant de sécuriser pleinement votre investissement : tout ce qu'il faut savoir sur la loi girardin industriel.
Les simulations de rendement
Il vaut mieux simuler les rendements avant de se lancer, en tenant compte avant tout du montant de vos impôts et de l’objectif de défiscalisation. Cela afin de tabler sur la meilleure rentabilité finale. Si vous êtes faiblement imposé, il vaut mieux opter pour d’autres dispositifs qui sont plus sécurisés.